Tome de l'oubli


L'ÉVEIL D'AERENDIR

Au lendemain de la grande guerre, un nouveau monde s’éveille. Aerendir, un continent façonné par la bataille des Ayatar, accueille les races figées, libérées de leur sommeil éternel. Les humains, les elfes, les nains, les orcs, les gnomes, les Mindiaes, les Changepeaux et les Hommes-bêtes, tous se réveillent à une ère de prospérité.

Les humains, sous la direction du roi Edric de Kaemithas, commencent à construire des villes et des routes. Leur roi, un leader charismatique et sage, guide son peuple avec fermeté et compassion. Il encourage le commerce, l’éducation et l’art, faisant de son royaume un centre de culture et de savoir. Les villes humaines, avec leurs hautes tours et leurs marchés animés, sont un témoignage de l’ingéniosité et de l’ambition humaines. Les humains travaillent sans relâche, transformant le paysage avec leurs constructions. Chaque bâtiment, chaque route, chaque monument est un symbole de leur détermination à bâtir une civilisation florissante sur Aerendir.

Les elfes, guidés par la reine Lirael de Daralïn, cultivent des forêts luxuriantes. Lirael, une souveraine douce mais déterminée, veille à ce que son peuple vive en harmonie avec la nature. Elle encourage la préservation de la faune et de la flore, faisant de son royaume un sanctuaire pour toutes les créatures vivantes. Les villes elfiques, nichées dans les arbres et baignées de lumière magique, sont un spectacle à voir, reflétant leur amour profond pour la nature. Les elfes chantent des chansons anciennes, tissant la magie dans chaque feuille, chaque branche, chaque racine. Leur amour pour la nature se reflète dans chaque aspect de leur vie, de leur architecture organique à leur respect pour toutes les formes de vie.

Les nains, sous l’égide du seigneur Thorgar de Karaz Arek, creusent les montagnes pour extraire des minéraux précieux. Thorgar, un leader stoïque et travailleur, veille à ce que son peuple tire le meilleur parti des richesses de la terre. Il encourage l’artisanat et l’ingénierie, faisant de son royaume un centre de technologie et d’innovation. Les forteresses naines, avec leurs murs de pierre solides et leurs forges brillantes, sont un symbole de la détermination et de la résilience naines. Les nains travaillent jour et nuit, le son de leurs marteaux résonnant dans les montagnes. Chaque gemme extraite, chaque métal fondu, chaque arme forgée est un témoignage de leur dévouement à leur métier.

Dans le royaume de Merignon’, les gnomes, dirigés par Fizban, travaillent à la construction de machines ingénieuses et de gadgets astucieux. Fizban, un leader brillant et inventif, inspire son peuple par son ingéniosité. “Notre taille peut être petite, mais notre esprit est grand. Nous montrerons au monde ce dont les gnomes sont capables”, déclare Fizban avec fierté. Les ateliers des gnomes, remplis d’outils et de machines, sont un témoignage de leur curiosité et de leur amour pour l’invention. Les gnomes travaillent avec diligence, leurs petites mains expertes créant des merveilles de technologie et d’ingéniosité.

Ainsi, chaque race, avec ses propres compétences et traditions, commence à façonner le paysage d’Aerendir. Des villes s’élèvent, des forêts s’épanouissent, des mines sont creusées, des camps sont établis, et des machines sont construites. Un nouveau monde est en train de naître, plein de promesses et de possibilités.

Cependant, même dans ce moment de renouveau et de prospérité, des défis se profilent à l’horizon. Chaque race a ses propres aspirations et ambitions, et il n’est pas toujours facile de les concilier. Mais pour l’instant, ils travaillent ensemble pour bâtir un avenir meilleur sur Aerendir, sous la direction de leurs dirigeants clés.

Et ainsi commence l’histoire d’Aerendir, un monde né de la guerre, mais qui aspire à la paix. Un monde où chaque race, guidée par ses dirigeants clés, cherche à créer sa propre place sous le soleil. Seul l’avenir dira ce que ce nouveau monde leur réserve.

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Anglond lors de la visite d'Otar.

PREMIÈRES FRICTIONS

Au fur et à mesure que les peuples d’Aerendir s’installent et prospèrent, des tensions commencent à émerger. Les elfes de Daralïn, sous la direction de la reine Lirael, sont mécontents de la déforestation rapide par les humains de Kaemithas. Le roi Edric défend les actions de son peuple, arguant que le bois est nécessaire pour construire des maisons et des navires.

  • Nous avons besoin de bois pour nos constructions, Lirael !

Explique Edric lors d’une réunion des dirigeants. Sa voix résonne dans la salle du trône, remplie de dirigeants de toutes les races. Il y a une détermination dans ses yeux, une volonté de faire avancer son peuple. “Nous ne pouvons pas arrêter notre développement.” Son discours est accueilli par des applaudissements de la part de certains dirigeants, mais aussi par des murmures de désaccord de la part d’autres.

  • Le développement ne doit pas se faire au détriment de la nature, Edric.

Rétorque Lirael. Sa voix est douce, mais ferme. Ses yeux verts brillent d’une passion ardente pour la nature. “Nous devons trouver un équilibre.” Elle se lève, son regard balayant l’assemblée. Chaque mot qu’elle prononce porte le poids de sa conviction. Son discours est accueilli par des applaudissements de la part de certains dirigeants, mais aussi par des murmures de désaccord de la part d’autres.

Pendant ce temps, dans les montagnes de Karaz Arek, les nains, dirigés par le seigneur Thorgar, entrent en conflit avec les orcs de Gun’Nugub sur les droits miniers. Les orcs, menés par leur chef Grom, revendiquent les mêmes montagnes pour la chasse et l’habitat.

  • Les montagnes nous appartiennent autant qu’à vous, Thorgar !

Gronde Grom lors d’une confrontation tendue. Sa voix est rauque, comme le grondement d’un orage lointain. Ses yeux sont durs comme l’acier, reflétant sa détermination inébranlable. “Nous ne céderons pas nos terres.” Son discours est accueilli par des applaudissements de la part de certains dirigeants, mais aussi par des murmures de désaccord de la part d’autres.

  • Ce ne sont pas vos terres, Grom !

Réplique Thorgar. Sa voix est aussi solide que la roche, son regard aussi dur que le diamant. “Les montagnes ont toujours été le domaine des nains.” Il frappe du poing sur la table, faisant trembler les goblets et les assiettes. Son défi est clair. Son discours est accueilli par des applaudissements de la part de certains dirigeants, mais aussi par des murmures de désaccord de la part d’autres.

Dans le royaume de Merignon, les gnomes se sentent négligés par les autres races. Leur dirigeant, Fizban, fait valoir que bien que leur taille soit petite, leur contribution à Aerendir ne doit pas être sous-estimée.

  • Nous sommes petits, mais nous sommes puissants...

Déclare Fizban lors d’une assemblée des dirigeants. Sa voix est aiguë, mais porte une force surprenante. Ses yeux pétillent d’intelligence et de malice. “Ne sous-estimez pas les gnomes.” Il se lève, son petit corps se dressant avec une dignité qui défie sa taille. Son discours est accueilli par des applaudissements de la part de certains dirigeants, mais aussi par des murmures de désaccord de la part d’autres.

Ces frictions menacent de perturber la paix fragile d’Aerendir. Les dirigeants doivent naviguer avec soin dans ces eaux politiques troubles, cherchant à résoudre les conflits tout en préservant l’unité fragile entre les races. Chaque décision prise pourrait avoir des répercussions durables sur l’avenir d’Aerendir. La question demeure : comment ces dirigeants clés géreront-ils ces premières frictions ? Seul le temps le dira.

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Anglond lors de la visite des Ayatar

Ayant vu tout cela, ils décidèrent de faire demi-tour mais leurs destins étaient déjà scellés lorsque Rotog, l'un des commandant des armées de Talkor apparu avec 10 de ses disciples. Mesurant presque deux mètres il s'avança vers les quatre Ayatar calmement et pris enfin la parole.

  • Mon maître vous souhaite la bienvenue Azreus, Emir, Thirasil et Uldum. Il vous attendait, veuillez me suivre et nous pourront traiter ensemble.

Sans avoir confiance le quatuor suivait l'homme malfaisant qui se tenait devant eux et se dirigeaient en direction du bastion. Arrivé aux portes d'Anglond, l'escorte se divisa et ils pénétrèrent seuls dans cette forteresse jusqu'a arriver à la salle du trône. Talkor était assis là accompagner de tous ses commandants disposé en arc de cercle face à lui. Rotog vint rejoindre les autres et disposa les Ayatar face à son maître.

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Talkor prit alors la parole :

  • Mes amis, cela fait bien longtemps, c'est un plaisir de vous revoir et surtout d'apprendre que vous me rendiez visite. Que me vaut votre déplacement ?
  • Mes amis ? Rétorqua directement Uldum. Comment pouvez vous nous appeler amis après avoir fait autant de mal à cette terre et avoir développé autant de monstruosité.
  • Calme toi Uldum, nous ne sommes pas là pour déclencher une guerre, répondu calmement Thirasil. Mon ami, qu'est il arrivé à cette terre ? Qu'as tu donc en tête à développer autant de créature et de constituer une si grande armée ? Aurais tu l'intention de détruire ce monde ?
  • Détruire ce monde ? Talkor se mit à rire à pleins poumons et enchaîna ensuite, vous avez créé nombre de bêtes, végétations et espèces vivantes par votre simple imagination et je ne peux constituer une partie de ce monde à mon image. Vous êtes bien égoïstes si c'est cela votre manière de penser. Aucun d'entre vous ne s'est soucié des inventions de mon frère dans vos contrées et pourtant elle sont toutes aussi monstrueuses à mes yeux que les miennes aux vôtre.

Talkor fit un signe de la main pour que ses commandants quittent la pièce, ils se séparèrent et partirent tous vers des directions différentes. Une fois seul avec les quatre autres Ayatar il reprit :

  • La dernière fois que nous nous sommes aperçus, je n'étais qu'un simple immortel sans l'ombre d'une capacité errant dans le palais divin. Talkor se levait et enchaîna, maintenant je suis plus que cela. J'ai découvert mon utilité et ma voie, je sais quoi faire de mes réelles capacités et comment les mettre à plein profit pour ce monde. La surprise marquait le visage des Ayatar, se sentant de plus en plus faible et de plus en plus oppressés par le lieu dans lequel ils se trouvaient. Talkor reprit alors, mais vous savez ce n'est pas chose aisée que de laisser partir des personnes aussi importantes que vous. Si je ne me trompe Uldum, vous êtes le seul ici à m'avoir manqué de respect et presque insulté de traitre à ce monde.
  • Uldum répondit la voix tremblante, ce n'est pas ce... ce que je voulais insinuer mon ami...
  • Mon ami ? vous avez donc changé de discours ? Talkor enleva alors sont heaume et laissait apparaître son visage.
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Visage de Talkor nimbé d'ombres.

Apeuré de ce qu'étais devenu Talkor, Uldum prit la fuite et tenta de sortir de la salle du trône quand l'ombre vint le rattraper et l'enchaina au dessus du siège sur lequel Talkor s'était assis.

  • A jouer avec le feu on finit par se brûler Uldum dit insolemment Talkor. Tu vois, nul ne sera monstruosité si vous veniez à être mes esclaves...

Emir, Azreus et Thirasil dégainèrent leurs armes mais en une fraction de seconde elles finirent clouées au sol par la seule force de Talkor. Il les repoussa ensuite à l'extérieur du palais là ou les armées de centaines de milliers de guerrier les attendaient.

  • Comprenez dès à présent que vos vies sont menacées mes amis car bientôt votre palais ne sera que ruine.

Il relâcha ses pairs épuisés par le poids de l'environnement et de la peur. Puis Talkor les laissa partir afin qu'il fasse passer le message, un message indiquant que "l'abandonné", donc Talkor, viendra prendre ce qui lui appartient de droit et n'hésitera pas à terrasser quiconque s'opposera à lui.

Une fois revenu au palais divin, exténué, Emir rejoignit Fonos et déclara ensuite :

  • Il a Uldum...
  • Qu'est ce que....

Emir finit par s'évanouir de fatigue et finira par se réveiller quelques heures plus tard entourée d'Azreus, Thirasil et Fonos. Nul ne sait ce qui s'est dit à son réveille mais on raconte que Fonos était dans une colère noire et qu'il comptait convoquer une nouvelle fois l'assemblée pour prendre une décision. Lors de cette assemblée seul 7 Ayatar avaient répondu présent, les absent étant Talkor, Uldum et Uris. Uris avait disparu depuis peu et personne ne l'avait vu partir. Laissant alors penser que son père l'avait aussi pris en otage. L'assemblée à alors décidé, pour son honnêteté et sa dévotion lors des soins des autres Ayatar, d'octroyer le titre de Roi et Général des armées à Otar. Il convoqua ensuite Azzarul pour qu'il crée des entités l'aidant dans la production d'armes et équipements mais aussi des soldats afin de préparer la grande guerre...


FEU ET SANG

Les jours passent et l'armée d'Otar se développe. Elle est majoritairement composée d'humains la race créée par Otar, d'elfes la race créée par Xyldir et de nains la race créée par Azzarul. Cette armée n'est construite que dans un but, stopper et emprisonner Talkor pour ses odieux crimes commis envers l'ensemble des Ayatar. Les préparatifs ne sont pas pris à la légère, c'est Otar lui même qui entraine les soldats jour et nuit afin d'en tirer le meilleur. Tous font preuve d'enthousiasme et de dévotion à l'égard de leur roi. Les nains font également tourner les forges jour et nuit afin de produire un maximum d'armure, d'armes et engins de siège.

Les préparatifs se peaufines, les Ayatar sont prêt à rentrer en guerre rien ne peut les arrêter. Tous les engins de sièges étaient prêt à avancer à l'aube. Le roi convoque une dernière fois tous les Ayatar avant de partir en guerre pour faire un rappel du plan de bataille et de l'organisation des troupes quand soudain arrive un nuage noir, se dirigeant à toute vitesse sur le palais. Il brisa l'une des vitres l'ornant et un homme apparu.

  • Je viens négocier votre reddition... déclare l'homme face aux divinités.
  • Reddition ? Pour qui te prends tu, tu es seul et tu as face à toi le Roi des Ayatar dit alors Azzarul.

L'homme se mit à rire et le sol trembla, des cris se firent entendre à l'extérieur et la panique se faisait ressentir jusqu'au palais. Les Ayatar sortirent et virent donc la guerre éclater.

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L'ombre présente dans le palais, qui n'était qu'un simple fantassin, dégaina alors une épée et engagea le combat avant de se faire désintégrer par Fonos. Le sang coulait à flot à l'extérieur, qu'il soit humain, nain ou elfe. Les soldats ne s'attendaient absolument pas à être attaqué aussi rapidement et surtout sans avoir eu ne serait ce que l'once d'un indice.

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Sur le champs de batailles apparaissaient de nouveaux ennemis. Les commandants de Talkor se distinguaient des simples fantassins dont un en particulier, Varug le plus grand des Targogs, celui qui l'avait aidé à trouver d'autres de ses semblables. Sa hache embrasée de 2 mètre terrassait nombre d'ennemis. Il était accompagné de ses quatre frères...

La bataille vient enfin s'équilibrer quand le roi et les autres Ayatar virent rejoindre les troupes au sol. Le combat fait rage et un duel épique s'engagea entre Fonos et Glauwaung, le plus grand des dragons.

Malgré une claire supériorité tactique le dragon fini cloué au sol par les incantations de Fonos qui arrivait à le maîtriser. Cependant, les dragons crachent du feu... Grace à cette aptitude, il a pu cesser les paroles magiques du dieu de la logique et des astres. En reprenant son envol, Glauwaung se mit à battre fort des ailes ce qui fit tomber et s'envoler un partie des soldats alors au sol, autant ennemis qu'alliés. Il finit alors par retourner vers Anglond ou il allait défendre la forteresse et se reposer. Azreus et Thirasil firent équipe pour aider les armées naines à utiliser les engins de siège et abattre énormément de troupes au sol à l'aide de balistes et catapulte.

Le combat faisait rage, les regards c'étaient croisés entre Talkor et Otar. Ils engagèrent le combat, au premier coup d'épée le choc était si puissant qu'ils avaient fait reculer tous les êtres vivants sur des dizaines de mètres. Ils se battirent sans relâche quand Uris fit éruption et mit un coup sauvage dans l'abdomen d'Otar. Talkor, alors sûr d'avoir gagné face à son frère, marchait nonchalamment en sa direction, l'arme en main et la satisfaction au coeur. Il n'était plus qu'à quelques mètres d'Otar quand enfin il décida de lever la tête, à ce moment là, la bataille allait prendre une autre tournure.

Il se releva héroïquement, mit son bras droit en l'air et attira toute la lumière sur son être la canalisant et la concentrant. Talkor s'était arrêté surpris et était dans la ligne de mire du roi des Ayatar. Otar leva son autre bras afin d'également canaliser la lumière. Il déchaine un rayon de sa main droite sur Talkor qui peinait à le stopper, une fois qu'il n'eu plus de lumière il frappa le sol de sa main gauche et ressuscita alors tous les soldats qui avaient chu au combat. Les troupes du roi étaient maintenant nettement supérieure à celle du seigneur des ténèbres. Talkor ordonna à ses commandant de se replier en direction d'Anglond, lui, monta a dos de dragon afin de regagner son bastion.

Otar et les Ayatar alors en confiance décidèrent de lancer l'assaut sur la forteresse suite à un bref discours de leurs roi :

  • Vous voyez donc ?! Avez vous donc vu ce que nous sommes capables de faire ensemble ? Nous avons été attaqués, souillés, humiliés et même provoqué durant cette attaque. Maintenant nous avons l'ascendant ! Tous avec moi ! Tous avec moi pour vaincre les ombres qui s'abattent sur notre lumière !

Les exclamations des troupes étaient sans appel, leur moral était au plus haut et grâce aux pouvoirs d'Otar leur forme était presque optimale. Ils marchèrent maintenant droit sur Anglond, déterminés et avec la rage de vaincre. Une fois arrivés aux abords de la cité, Emir déchaina les vents et crues pour perturber l'ennemi qui n'était pas habitué à ce genre de climat. Fonos força la grande porte avec les autres Ayatar tandis que les deux armées se combattaient à mort à l'extérieur.

Talkor était assis juste en dessous d'Uldum qui semblait avoir été torturé et mutilé à de nombreuses reprises.

  • Bienvenue scanda t'il, Bienvenue dans ma demeure, comme vous pouvez le voir certains ont pu l'admirer avant vous.
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Uldum sanglotait. Emportés par leurs émotions Fonos et Xyldir foncèrent sur Talkor qui n'eu aucun mal à les maîtriser et les enchainer aux côtés d'Uldum. Otar ordonna aux quatre autres Ayatar de sortir et d'aider les troupes au sol. Le roi des dieux pris soin d'observer la pièce dans laquelle il se trouvait.

Il avait repéré Uris qui n'attendait qu'une erreur pour donner l'avantage à son père. Il fit alors volontairement un pas vers l'avant, Uris placé derrière comptait le prendre par surprise mais Otar le savait. Avant qu'il n'ai le temps de s'approcher, Otar sorti son épée et la planta dans la cuisse d'Uris qui tomba alors au sol.

  • Tu es venu ici avec l'espoir de remporter cette bataille mais regarde autour de toi...

Des milliers de soldats sortirent des sous terrain de la cité et vinrent submerger le champ de bataille. Les troupes du roi n'allaient plus tenir très longtemps. Otar le savait, comme il savait que Talkor n'aurai pas dit son dernier mot.

  • Je n'ai pas besoin de milliers de soldats en surplus pour gagner cette bataille, mais seulement d'un seul...

Uris vint alors poignarder le mollet de Talkor ce qui le mit au sol, Otar utilisa alors ses dernières force de lumière pour détacher Fonos, Xyldir et Uldum des murs afin qu'il vienne l'aider à le bannir et l'enchaîner définitivement dans la forteresse qu'il avait bâtie. Les chaines de lumière se forgeaient autour de Talkor se débâtant en vin... Lorsque le rituel fut terminé toutes les troupes s'arrêtèrent et tombèrent au sol sauf ses commandants qui subirent le même sort que leur maître. Uris se releva et s'agenouilla devant Otar, s'excusant et le suppliant d'être clément en échange de son acte de rédemption. Les Ayatar se réunirent une nouvelle fois mais cette fois-ci dans le palais de Talkor où Otar allait prononcer la sentence établie pour sa trahison.

  • Uris, fils de Talkor, vous êtes pardonné de votre trahison mais vous devrez subir à vie sa marque. Vous allez être changé en la race immonde que vous aviez décidé de servir auprès de votre père, elle portera le nom Orc (qui signifie "Traitre" en langue divine). Vous ne serez déchu d'aucun de vos droit divin ni d'aucune de vos habilités. Uldum veuillez inscrire le sacrement.

Uldum inscrit cela dans le livre des sacrement qui venait de lui être restitué, Uris devint alors un Orc et les Ayatar retournaient paisiblement sur leurs terres avec leur armée. Effaçant tous souvenirs des mortels et les figeant, en attendant de leur trouver une destinée... Ce jour là, la bataille des Ayatar créa un continent au loin qui fut nommé Aerendir, en langue divine cela signifie "Rédemption", en l'honneur de l'acte d'Uris.

Quelques jours plus tard les races figées furent envoyés sur cette terre en guise de récompense pour les services rendus, d'autres races furent créée dans l'élan de joie comme les gnomes, les Mindiaes, les Change peaux et les Hommes bêtes. Un ère de prospérité régnait alors de nouveau sur Useris...

FIN DU TOME DES ORIGINES